C'EST LA FETE

Noël approche. C'est la joie dans les coeurs là où travail Victor. Tous n'ont qu'une chose en tête, la fête de Noël. Et on parle du père Noël, comme si c'était le jour de sa naissance. Et on en parle comme si des enfants étaient présent. Bref, c'est l'euphorie générale. Le travail est un peu mis de côté. Les intérimères feront le reste. Victor fait parti de ceux là. Toutefois on le trouve sympathique on lui parle volontier devant la machine à café. Lui, il fait parti des plus dans la branche hiérarchique, les moins étant les contrats très précaires. Les dernieres personnes en Contrat Emploi Solidarité sont regardé avec un moin grand soin. Ceux-là partiront bientôt, pense-t-on. Alors on parle à Victor. Bien sûr c'est passager, car lorsqu'on apprendra qu'il termine son contrat, on sera moin attentif. Il ne faut pas s'attacher. C'est un peu comme dans une guerre. On ne s'attachait pas aux nouveaux, car on savait que leur durée de vie était des moindres. Alors Victor ne dit rien, mais lui, il sourit et salut poliment ceux qui sont moins considéré.
Et c'est les boîtes de chocolat qui traîne sur les bureaux et tout le monde tape dedans. Et c'est le dernier réveillons qu'on raconte comme si c'était un exploit olympique. Et c'est la liste de ce qu'on va faire. Et c'est ceux qui veulent partir en vacance ce jour-là et pas un autre. Et c'est la phrase fatidique. Que fait-on comme fête au bureau pour la nouvelle année. Et on commence la quête. Là, on n'oublie pas de demander aux nouveaux ou aux contrat précaires de mettre de l'argent, et même s'ils ne seront pas là pour finir l'année dans la boîte. Alors Victor doute.