LES MYSTERES DE... MA VIE

Parfois, je vous révèle un secret sur mon existence. Voilà une autre histoire que je vais vous conter sur personne. Ainsi vous partagerez avec moi un nouveau secret.
C'était un soir d'automne. Un soir étrange et brumeux. Un soir de ces soirs où personne n'aime sortir, car on ne voit pas à un mètre. Mais moi, comme vous le savez, j'aime ces temps là. Ici et peut-être chez vous aussi, on l'appelle le temps des assassins. Pour moi, c'est le temps du mystère et de la vie. Car le brouillard n'est pas source de malheur, il donne à ceux qui ont soif de connaissance le savoir qu'il ne trouve pas dans les moments ensoleillés. J'avais 15 ans.  Ma mère me demanda d'aller chercher des cigarettes. Je lui fis remarquer qu'elle ne fumait pas. Elle approuva que je n'avais pas tors. Il était encore tôt, à peine 17H30mn. Elle me dit, d'aller chercher des timbres, puisqu'elle ne fumait pas. Je sais ce dialogue était assez étrange. Mais attendez la suite. Comme j'étais un gentil garçon et que j'aimais beaucoup ma mère, j'ai pris de l'argent dans le porte-monnaie et je suis sorti pour allez chercher des timbres au bureau de tabac de ma belle et charmante ville. J'adorais cette ville, elle était toujours éclairées. Mais ce soir-là, non.
J'aime l'odeur du brouillard, car le brouillard à une odeur, même si vous ne le savez pas. J'aime aussi, mais je l'ai déjà dis, les paysages qu'il transforme en des lieux inconnus.
J'ai été au bureau de tabac acheter les timbres que ma mère voulait. Je pris tout mon temps pour rentrer chez moi, car j'aime être seul dans la rue. Et quand les temps sont comme cela, les trottoirs sont désert en général, sauf quelques exceptions.
Donc je rentre chez moi. Je vais dans la cuisine et ma mère n'y est pas alors je dépose les timbres dans la boîte qui leurs étaient destinés. Je vais dans le salon, il n'y avait personne et la télévision était éteinte. Je monte dans ma chambre. Même mon chien n'était plus là. Je vais dans la cave, personne. Alors je remonte dans ma chambre. Mais au bout d'une heure, il n'y avait personne. Je descends, je me fais à manger. J'allume la télévision, fait semblant de faire mes devoirs, comme d'habitude. Regarde mon feuilleton. Et les heures passent. Je vais au jardin et c'est vraiment le désert, seul le grand chêne me salut de sa présence.
Je rentrais chez moi. Ma mère avait dû s'absenter pour aller chercher un de mes oncles, celui qui venait souvent chez nous. On rigolait bien avec lui. Donc pas d'inquiètude.
Mais à 21H00, je me posais des questions et là je m'inquiétais, c'est normal. Inquiet, le mot était bien faible, paniquer était plus juste à ce moment là. Je monta les escaliers et frappa à la porte de la chambre de ma mère. Pas de réponses. Alors, je rentrais. Là, sur sa table de chevet il y avait un mot.
Ce mot disait que ma maman devait me quitter, car c'était comme cela.
J'avais entendu parler du mari qui quitter le domicile conjugale en prétextant d'aller chercher des cigarettes. Mais que ma maman m'ait fait le même coup. Bon, je suis philosophe. Après tout, je suis sans rancunes. La vie c'est comme çà.

Pour conclure mon histoire, je crois bien qu'elle est tout à fait fausse. Mais bon, cela vous a plongez dans le mystère non ? 

Comments

[Karleman]

Courage. Fuyons.

[Max]

Ouai sa me faire un peu peur en fait ^^

Pr m'sieu le curé, je serai ravi d'aller le voir...mais dans quelques années quand meme :D

[Karleman]

Max- Elle commence toutes comme cela ! C'est mon petit lutin blond et ni une ni deux, tu te retrouve devant m'sieur l'curé et le maire ! Je veux pas te faire peur...

[Max]

va falloir qu'on parle sérieusement fool...tu m'agaces :p

Au fait...j'ai retrouvé les photos dossiers, elles n'etaient pas perdues heureusement...:p

[fool]

ta photo n'est pas sur ton blog l'Oiseau a pris ta place...
et pour le ptit lutin blond ( qui va devenir tout rouge qd il lira ca): si tu lis plus haut ce que tu a mis je site "j'ai tjs rien acheter au secours!!!!" ce qui laissait supposer que tu était en galère

ps: excuse nous pour les réglements de compte :p