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L'homme qui n'a pas d'étoile
28 septembre 2005

POUR L'AMOUR DE CECILE

Lorsque nous nous sommes vu pour la première fois toi et moi, nous étions en réunion. Tu étais comme une petite stagiaire toute seule sur ta chaise avec ton bloc note. Tes yeux bleus qui transperçait mon regard, me forçait a garder une plus grande sérénité, voir une froideur dont j'ai l'habitude. Tu avais l'air de t'en désolé. Puis j'ai porter mon regard sur toi et longtemps. Tu étais gêné. Alors j'ai regarder la femme qui te coupait la parole tout le temps. Cette conne se croyait plus maligne que toi. Elle ne te respectait pas. Pas plus que les cons qui te côtoient chaques jours. Mais là je suis méchant. J'ai coupé la parole à la Dame qui te la coupait tout le temps et je t'ai donné l'occasion de t'exprimer. Et tu l'as fait avec brio. Tu as montrer ton intelligence. Tu n'étais plus seulement belle tu étais enfin une femme intelligente. Moi je l'avais remarqué, car tu étais la seule a avoir préparer ton dossier. Tu savais de quoi tu parles. Nous t'avons tous écouter avec attention. Et moi en t'écoutant, j'ai pensé : cette fille là, elle est vraiment plus que tout... J'étais tomber amoureux de toi. Mais chaque fois que nous avons été en réunion ou que nous traitions "le dossier", j'ai toujours cacher mes sentiments à ton égard. Aujourd'hui je ne sais pas vraiment si je le regrette. Un jour tu m'as appellé. Tu m'as demandé quand j'étais libre. C'était pour le dossier. Je t'ai dit : n'importe quand, c'est professionnel. Je n'ai pas vu que je t'avais blessé. Quel idiot je suis. Le jour suivant, tu avais donné le dossier à ton collègue. Puis tu l'as repris. Et je sais que c'est toi qui l'a décidé. Tu ne voulais  pas ne plus me voir. Et moi non plus. Je t'aimais trop. Mais à chaque fois on traitait le dossier et on blaguait. Je te faisait rire. J'aimais t'entendre rire. Comme le dernier jour. Tu m'as souhaité bonne chance dans ma nouvelle vie, comme-ci  nous étions deux amants qui se séparaient. Tu m'avais dit que tu prendrais de mes nouvelles. Alors pourquoi ne le fais-tu pas ? Si j'avais ton numéro, je t'appellerais tous les jours, rien que pour entendre ta voix. Je t'appellerais mon amour... Mais tu ne le fais pas. Et je sais pourquoi. Parce que tu ne m'as jamais aimé.

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