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L'homme qui n'a pas d'étoile
13 décembre 2009

à la sainte Lucie ! j'achète un freezbee

Aujourd'hui, c'est la fête aux Lucie.
Moi, je n'en connais qu'une. Lui souhaiter banalement, un « bonne fête Lucie », ne serait pas suffisant. De toute façon, elle ne l'entendrait pas ou ne voudrait pas l'entendre.
C'est ainsi, que je me suis décider à lui offrir un cadeau. Une lettre qu'elle ne lira jamais. Quoique...
Peu importe. Je lui écris.

Très chère Lucie,

Je profite de votre fête, car c'est aujourd'hui le treize, pour vous écrire ces quelques mots, que vous lirez peut-être, si vous avez le temps entre deux changements de couches si votre bébé est arrivé.
J'attendais de vos nouvelles, mais je sais que je n'en aurai pas, parce que j'ai été un peu méchant avec vous. Je le regrette. Fallait juste pas me provoquer. Toutefois, chère Lucie, sachez que ma tendresse pour vous ne m'empêche pas de vous écrire ces mots sincères sorti tout droit de mon coeur.
De vous dire que vous me manquez. Que je me sens orphelin de votre voix. Même si c'est pour me faire des reproches, puisque vous ne savez que me faire cela. Mais ça fait rien. Je prends. Vos reproches, c'est un peu de vous. Pas ce que vous pensez réellement d'ailleurs. Je sais pourquoi vous êtes si agressive. Parce que votre coeur bat pour moi, comme le mien bat pour vous.
Je pense à vous. Je parle tout le temps de vous. J'écris par vous. Vos yeux, vos cheveux, votre bouche, et oserais je le dire, votre corps me manque.
Je vous vois vous fâché de peur qu'on se méprenne sur notre relation. Je le certifie maintenant, nous ne sommes pas amant.
Mais, vous ne pourrez m'empêcher de vous aimer. Vous, si ça vous chante, vous pouvez le nier. Et pourtant, je sais. Oui, j'ose vous l'écrire, je le sais, l'effet que je vous fais..
Je n'ai rien à vous offrir que ces lignes, cette lettre, cet écrit, que vous nierez certainement d'avoir même pu le lire.
Je vous dis à bientôt. Reposez vous, prenez du repos.
Pour la première fois, je vous embrasse. Poliment. Gentiment. Furtivement. Mais je le fais. Et tant pis si je me prends un gant.

Je ne peux terminer ce mot sans vous avouez mes sentiments.
Je vois déjà vos yeux me me fixer en furie et courroucés. Mais tant pis si en mars, je dois, votre colère chère amie, affronter.
Je ne peux finir sans vous l'avouez, je vous aime Lucie.
Je termine là mon billet en finissant. Souffrez qu'un jour, je ne vous laisse définitivement... si, un signe, un moment,l ne me faite, en guise d'encouragement.

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Commentaires
K
La Bernache - Ben la douleur est supportable. :))
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L
on est tout romantique cher Karlman ;-) Ah cette Lucie qu'en effet tu refuses d'oublier ...il est bon de rêver , même si quelque fois ça peut faire un peu mal ...pas trop quand même hein ?...
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K
Pixel - Tu n'as rien à m'envier à l'écrit chère amie.<br /> Merci beaucoup.<br /> Oui, la vie passe vite. Il faut savoir prendre le train quand il passe. Le mien est est dans une impasse.<br /> Mais j'avais envie d'écrire ce texte pour elle.<br /> D'ailleurs, mes lectrices et lecteurs aiment lorsque je parle d'elle. <br /> Il faudra, si je la revois, que je lui en parle.<br /> De lui dire que c'est presque une nécessité de m'aimer. :)<br /> Bises
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K
Mauve - Merci sincèrement pour ton gentil commentaire. Tes mots sont très beaux. Ton émotion ressentie est tellement présente qu'un moment, j'en ai eu des frissons.<br /> Et toi, Mauve ? Quel amour vas tu nous faire connaître ? :)<br /> à bientôt douce amie. bises
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K
Elisa - :) Je ne peux pas aller sur you tube, mais je connais la chanson. :)<br /> Je compte bien, l'indisposer.<br /> Et même la faire, un peu se dévoiler... :)<br /> Tendresse
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L'homme qui n'a pas d'étoile
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