Servir notre Seigneur et notre Royaume : L'escorte

Au début de mon histoire je vous avais raconter que Wolf avait des ambitions territoriales sur deux royaumes que nous étions sensé protégés, mais à qui il ne pouvait déclarer la guerre sans perdre l'approbation de son peuple et des pauvres qui l'admiraient. Il allait bientôt mettre son plan en oeuvre.
Mais avant, il avait un doute sur certaines affaires qui se passaient dans le royaume. Depuis qu'il n'y avait plus de guerre, certains notables et mêmes chefs de guerre se complaisaient dans des malversations. Des rapports accablant étaient parvenu à Wolf sur les agissements de marchands, de chefs de la vigile (la police), magistrats, chefs de villages (maire) et même des chefs de guerre. Comme à chaque fois qu'une nouvelle venait le contrarier, Wolf rentrait dans une profonde colère. Et il décida d'aller voir de ses propres yeux ce qui se passait dans le village concerné.
Et moi, pendant ce temps là...

Après avoir passer une nuit et toute une journée dans ce merveilleux village de prétorien, nous étions rentré au camps d'entraînement « le croc du loup ». Vik avait l'air toujours triste et semblait déprimé malgré mes encouragements et ceux de Siegfried. Je n'osais lui raconter ce que j'avais vu le jour où les prétoriens avaient tuer hommes, femmes et enfants Orks. Les jours passaient et nous nous entraînions toujours aussi durement. Mais cela payait et mes camarades et moi allions bientôt recevoir nos insignes de prétoriens.
Rudolf vient nous chercher et nous ordonna de revêtir notre tenue et de bien l'astiquée. Car nous avions une mission.
Comme toujours dans ces cas-là, on ne nous donnait pas d'autres informations. Mais nous devions être impeccable ainsi que nos chevaux.
Nous quittions le camps quelques minutes plus tard pour nous rendre à l'endroit où notre mission nous attendait. Qu'allions nous faire ? Brûler un autre village ? Occirent quelques traître à notre Royaume ?
Au bout d'un moment nous faisions halte à l'entrée de la terre des prétoriens et Rudolf nous expliqua que nous allions escorter une dame et ses compagnes. Cette dame n'était pas n'importe qui. C'était l'intendante du château de Wolf. Les ordres étaient strict. Aucun de nous ne devait la regarder dans les yeux, ne devait lui adresser la parole que si elle le faisait la première. Nous devions nous tenir parfaitement bien. Bref, être de marbre et nous tenir le plus correctement possible.
C'est ainsi que nous eûmes la surprise de voir arrivé quelques chariots de femmes escorter de vigiles.
Ils n'avaient aucun droit de rentrer dans la terre prétorienne. C'était zone interdite. Leur chef salua notre maître d'arme Rudolf et puis c'est notre groupe qui pris la relève. Bien que nous avions l'interdiction de regarder ces demoiselles, c'était une mission plutôt impossible pour des jeunes hommes. Alors, on nous tenant droit comme des « i » sur nos chevaux, nous jetions sans tourner la tête quelques coups d'oeil à ces jeunes filles pour voir de quoi elles avaient l'air. Un moment, celle qui était l'intendante demanda à Rudolf si c'était possible de se désaltérée quelque instant avant de poursuivre notre chemin. Le voyage avait été long et elle et ses camarades avaient grande soif. Rudolf accepta.
C'était étrange, cette jeune femme semblait avoir de l'influence sur ce vieil ours de Rudolf. C'est ainsi que nous pûmes descendre de cheval et voir le visage de ces demoiselles. Elles étaient environ dix et leur intendante s'appelait Elvira. Elvira était une jeune femme de 19 ans environ. Petite blonde avec un doux sourire, son visage inspirait la bonté et la gentillesse. Elle n'avait rien d'une intendante sévère et elle était d'ailleurs très jeune pour ce rôle. Elle riaient avec ses camarades et demanda à Wolf s'il voulait boire quelques jus de fruit. Le protocole nous l'interdisait et il refusa. Mais Elvira insista et puis elle dit qu'elle ne voyait pas en quoi il y avait mal de se détendre un peu. Rudolf n'osa la contrarier et il accepta la coupe de jus de fruit. Alors Elvira dit qu'elle ne pouvait pas laisser ces jeunes braves soldats mourir de soif et nous fûmes convié à venir parmi elles. Nous étions aux anges et Rudolf bien embêter par la transgression des ordres.
Les jeunes filles étaient elles aussi de bien belles personnes. Nous avions l'air de jeunes coqs au milieu d'une basse-court. Mais toutefois, sans osé vraiment les regarder et leur adresser la parole. Car là aussi, le protocole nous l'interdisait. Et cela faisaient rire les jeunes femmes.
Un peu de douceur dans ce monde sévère des prétoriens nous adouci un peu la vie. Même Vik avait retrouver le sourire.
Puis nous entendîmes le bruit de galops de chevaux qui s'approchaient. Tout de suite nous fûmes sur nos gardes. Et nous eûmes une grande surprise qui nous remplie de joie mais donna des frissons à Rudolf. Car l'homme qui venait d'arrivé n'était autre que Wolf notre Guide suprême avec sa garde personnelle.
Tout de suite Rudolf ordonna de nous tenir au garde à vous. Et de remonter tout de suite à cheval.
Wolf nous regardait d'un air mécontent et fit un signe à Rudolf.
- Qu'est ce qui se passe ici ? Demanda t-il.
- Nous escortons ces jeunes femmes à votre château mon Guide.
- Et c'est comme cela que vous les escortez ?! Vous ne devez pas baisser votre vigilance ! Même dans nos domaines !
Et ce que je n'avais jamais vu jusqu'à mon arrivée au royaume se produit. Elvira osa interrompre notre Seigneur d'une voix très douce pour venir au secours de Rudolf et de nous pauvres prétoriens qui se voyaient déjà envoyer croupirent à quelques frontières de l'empire.
Elle approcha près de notre Guide et lui pris la main. Personne n'avait jamais fait ça et mieux encore. Voici la conversation que nous n'aurions pas eu le droit d'entendre.
- Wolf, mon doux seigneur, allez vous punir ces jeunes soldats et leur maître d'arme pour avoir obéi à ma requête ? Ils ont eu la gentillesse d'accepter que nous puissions nous désaltérée moi et mes jeunes compagnes de travail. Quel mal ont-ils commis ? Venez plutôt vous joindre à nous ainsi que vos gardes.
Et encore plus surprennant, Wolf avait une voix douce pour s'adresser à cette jeune femme.
- Si c'est votre souhait chère Elvira, je veux bien passer sur cette erreur pour cette fois. Mais essayez, vous et vos compagnes, de ne plus faire tourner la tête et de soustraire mes soldats à leurs devoirs ! Demandez à vos camarades de remontez dans les chariots au plus tôt.
Aux ordres de Rudolf, nous remontions à cheval avec la plus grande hâte. Wolf s'adressa à Rudolf et lui dit de faire chemin avec lui. C'était un grand honneur pour un maître d'arme de chevaucher aux côtés de notre Guide et il ne s'y attendait pas alors qu'il avait permis à ses soldats de transgresser les ordres. Apparemment, Wolf ne nous en tenait pas rigueur.
Une heure plus tard nous arrivions dans les collines où se trouvait le domaine de Wolf, construit rien que pour lui et où vivraient les jeunes femmes ainsi que leur intendante Elvira. Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle était plus qu'une simple intendante et domestique. Wolf aimait cette fille. Ça crevait les yeux. Oui, Wolf était amoureux de cette jeune femme. Son visage était apaisé. Il semblait plus doux. Presque rêveur.
Nous entrâmes dans un autre domaine privé des prétoriens; celui de Wolf. Et c'est des dizaines de gardes qui patrouillaient très sérieusement tous les cinq cent mètres.
Nous fîmes halte pour être relever par d'autres prétoriens d'élite. Ils accompagneraient les jeunes femmes jusqu'au château.
Cette mission avait été une des plus agréables jusqu'à notre entrée en terre prétorienne. Cet instant de douceurs avaient été une pause de ce qui nous attndait.
C'est ainsi que Wolf vint vers nous et nous dit.

- Puisque vous êtes là, vous allez venir avec moi. Nous avons un travail à accomplir. Maître d'arme, tes hommes seront-ils à la hauteur ?
- Oui mon Guide ! Répondit Rudolf fier d'être choisi par notre Seigneur et maître.
- Vous devrez me suivre et quoi qu'il arrive de faire comme je vous le dirai.
- Oui, mon guide ! Ordonne nous obéissons !

Et c'est ainsi que nous fîmes route vers un autre mission. Nous étions choisis par notre Guide, c'était un suprême honneur. Peu importe quelle était cette mission ! Nous chevauchions avec la garde prétorienne d'élite de Wolf en personne et nous allions mener bataille pour lui et avec lui. Nous étions euphorique. Prêt à mourir pour lui. Nous étions prêt à le suivre jusqu'en enfer !

Et là, nous n'allions pas être déçu...

à suivre

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