Ach ! Die Krieg Gross Malheur

Aujourd'hui, à 11H00, de notre ville, j'ai répondu à l'attaque qui nous avait été faite. En ce moment notre artillerie bombarde les positions ennemies ! Ce soir, notre aviation bombardera la capitale ennemie ! Nos forces armées sont entrés en territoire ennemie.
Depuis plusieurs mois, des incursion ennemies avaient eut lieues sur notre territoire. Nous ne pouvions accepter plus longtemps cela. L'ennemie nous a menacé. Nous répondons à la force, par la force !
J'ai revêtu mon uniforme de campagne si cher à mon coeur....

Voici un discours très guerrier et j'aimerais tellement qu'il soit juste dans mon esprit.
Hélas, parfois, c'est beaucoup plus compliqué qu'on ne le croit.
Ce n'est pas aussi romanesque qu'on le suppose et tout ces effets d'annonces sont presque écrit pour se rassurer soit-même.
Mon coeur est serré mais je n'ai pas de regrets. Je devais le faire, car cela avait trop duré. Peu importe, j'irai jusqu'au bout.
Je pourrais être plus clair, mais je ne le veux pas.
Qui peut dire qu'on me connaît ? De qui je peux dire, « je te connais » ?. Nous disons souvent des choses, parce que ce sont des mots utilisés comme ça, un peu tout les jours, sans savoir pourquoi et que nous prononçons sans en connaître véritablement le sens.

La vie est un combat. On me l'a souvent dit. Alors je fais comme on m'a dit, mais sans comment savoir faire. Je fais surtout comme je sais. J'ai appris tout seul. J'ai tout appris tout seul. C'est très prétentieux de dire ça, mais c'est le sentiment que j'ai. C'est surtout vrai en ce qui me concerne d'ailleurs...
Non seulement c'est vrai, mais le pire dans tout ça, c'est que c'est presque effrayant.
Je ne suis pas triste, pas déprimé, pas malheureux et même pas heureux, alors qu'il y a encore quelques années, je trépignais de joie à savoir qu'il y avait une lutte à mener quelque part. Alors pourquoi se sentiment ?... de vide intense...
Peu importe le pourquoi du comment. Peu importe le résultat. Je ne sais où il me conduira... ou plutôt si. J'irai jusqu'au bout de ce que j'ai écrit, de ce que j'ai prédit, de ce que j'ai formulé et ce que j'ai pensé depuis des mois dans mon esprit.
Pourquoi tant d'extrême en moi ? Moi-même, je ne connais pas la réponse. Je sais juste que la portée des coups que je porterai sera encore plus forte que celle des coups que j'ai reçu. Je suis prêt à tout détruire autour de moi et avec moi si c'est nécessaire. C'est ce qui me caractérise à d'autres, ce qui fait mon identité, ce qui fait que je suis moi et pas un autre.
Parfois, je me fais peur... et ma force réside en le fait qu'on ignore jusqu'où je peux aller...
Le terrible pouvoir de ceux qui n'ont plus rien à perdre... c'est la victoire ou la mort...

C'est terrible les conflits. Cela ne tient à rien. C'est vrai que parfois, il faut juste une étincelle pour mettre le feu aux poudres.
C'est terrible les conflits... surtout lorsque vous savez que vous combattrez des personnes que vous estimiez...
J'aimerais être plus clair. Mais je ne le serai pas. À présent, il est revenu en moi. Celui-là que je voulais oublier. La bête est de retour et il se plaît bien.
J'irai jusqu'au bout. Au bout du bout. À l'extrême du bout... jusqu'au bord du précipice, jusqu'au néant si c'est nécessaire.

La vie est un combat....
J'emmerde la vie.

Là aussi, vous pouvez commenter. Mais vous comprendrez, j'espère, que je n'ai pas envie de répondre.

Comments

[wondercat]

tu es en colère toi et même révolté!!!tu as raison: plus rien ne va !!!il faut bien un courageux et téméraire GUERRIER pour le dire haut et fort!!!
BISOUS KARLEMAN à tout bientôt

[eve]

Envie de passer chez toi,mais pas de lire tout!!!je sais!!suis fainéante en ce moment!!!!