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L'homme qui n'a pas d'étoile
17 juillet 2012

Vampire diaries 3 - entretien avec un vampire

Voici ce qui va clore cette trilogie.

Une certaine mise au point pour la belle visée. Afin que les choses soient claires pour tout le monde, je m'adresse à Lucie et à personne d'autre qu'elle.
J'ouvre les guillemets...

Je ne suis jamais introduit sur ta page facebook volontairement. Plutôt, je n'ai jamais fait incursion « moi-même » sur l'une de tes pages. Pas plus sur celle de ta page facebook « culturelle ». Par courtoisie, je ne dévoile pas ton identité. C'est toi qui m'y a conduit. Sans cela, je n'aurais même pas su que tu y étais.
Je ne dévoilerai pas tes blogs ni tes pseudos non plus. Je ne veux pas te faire du tors et cela n'intéresse personne. C'est toi qui t'expose sur la toile déjà bien assez comme ça.
Note très importante. Je te tutoies ici mais dans la vie je te vouvoyais. Afin que tu saches bien qu'il s'agit de moi. Mais tu le sais, puisque j'ai eu la faiblesse de te donner deux textes de mon blog et pour que ça soit plus clair, le premier est celui de buffy et du nutella dont tu aimes en faire la parodie sur la bloguosphère. Tu crois tout savoir sur moi ? Tu ne sais rien. Tu n'as jamais rien su. Tu ne me connais pas et tu ne me connaîtras jamais, par ta seule faute.
Je n'en sais pas plus que ça, moi-même, sur toi. Je croyais te connaître un tout petit peu mais ce que j'ai découvert ne m'a pas vraiment plu. Et j'ai découvert que j'étais à un million d'annés lumières de ce que je croyais avoir deviné de toi. Cela ne m'intéresse pas de t'espionner et d'ailleurs je ne l'ai jamais fait. Je n'ai pas envie de savoir ce que tu fais de ta vie et cela n'importe peu avec qui tu couches. Je ne veux rien savoir que ce que tu aurais bien voulu me dire si tu avais laissé une place à une belle histoire entre nous. 
Ensuite, je tiens à te dire que je pense que tu accordes trop d'attention à ta petite personne. Tu ne vois que toi, tu n'aime que toi, et tu oublies les autres. Le monde ne tourne pas autour de toi. Pour moi, ce que tu penses t'être une qualité est un immense défaut. Je t'ai reconnu tout de suite sur facebook, rien qu'à ton portrait caractérielle. Une seule chose est réelle chez toi, ton égoïsme et ton égocentrisme. Il n'y a rien de vrai en toi, tout est comédie, et l'image que tu voudrais donner aux autres ne trompe que toi. Tu n'es pas la personne bonne et gentille que tu veux faire paraître. Tu es foncièrement méchante et mauvaise.

Je n'ai pas envie de continuer à te faire croire que je joue avec toi à ce jeu sadique dont tu penses tenir les rênes depuis le début. Ce n'est pas forcément le renard l'animal le plus rusé. N'oublie pas cela.
Tu veux tout contrôler ? Tu ne contrôle rien.
Tu ne peux t'empêcher de jouer mais ton jeu est d'une cruauté qui n'amuse que toi. Je pense que tu es soit, totalement perverse, soit, totalement dingue à enfermer. En tout cas, tu es dangereuse pour les autres.

Je ne pense pas que ta place soit dans le secteur social. Quant à ta passion... que je ne vais pas dévoiler... mais qu'on va peut-être aisément deviner, je te dirais qu'il faut savoir séparer les « rôles ». Il y a un temps pour le jeu et la fiction, un temps pour le réel.
C'est un peu la même chose pour ton autre passion : le sexe. Tu devrais apprendre à contrôler tes pulsions et tes envies. Cela se voit dans ton « jeu », comme dans ton travail. Et cela a des répercussions négatives, non seulement dans ta vie, mais surtout dans celle des autres. Et ces autres, ce sont des gens dans une grande difficultés sociale et que tu prends plaisir à maltraiter injustement et en toute impunité. C'est vrai que, je te cite, tu n'en as rien à foutre "des autres". Ce mot que tu affectionne dans ta bouche... pas que le mot, d'ailleurs...
Que tu te flagelles et que cela t'excite, c'est ton problème. Que tu maltraites en infligeant ton sadisme aux autres, s'est un autre problème et celui-là, bien plus grave. Que personne ne t'arrête... je ne comprenais pas. Maintenant je sais. C'est juste avec ton cul que tu crois manipuler tout le monde, tout ce qui t'entoure. Le futur va t'apprendre...
Il y a un temps pour tout, très chère. Un temps pour travailler, un temps pour s'amuser. Un temps pour réfléchir, un temps pour baiser. Sache aussi, qu'on peut tromper souvent longtemps, mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps... à méditer.

Je t'aimais Lucie, sincèrement et véritablement à m'en rendre malade. Je pense que tu ne trouveras jamais plus un homme qui t'aime autant que je t'ai aimé. Tu ne t'en rendras même pas compte, parce que tu confonds « partie de cul » avec véritable amour. C'est totalement différent. Je t'accorde que les deux sont complémentaires et compatibles, mais lorsqu'il y a l'un sans l'autre, cela reste une partie de cul. Et sache aussi, pauvre petite bête, que tu es seule. Libre à toi de croire le contraire. Bien sûr, tu as ton enfant. Pauvre gamin... Je connais trop « ces mères » qui ne font qu'assouvir leur besoin de pouvoir sur le berceau pour combler un manque affectif qu'elles ressentent quotidiennement. Dans ton cas, ton bébé est venu sans que tu l'as souhaité. Je n'en dirai pas plus. Je n'ai nulle envie d'être méchant. Je ne suis pas comme toi.
Tu penses qu'un autre homme t'aime ? Qui ? L'abruti de peintre aux tendances sexuelles douteuses ? Le pédant et petit bourgeois incompétent directeur des services sociaux de la ville ? Le vieux gigolo de la maison de retraite qui te file de l'argent moyennant "une gentillesse" ? Ton vieux collègue qui te prend pour son épaule à pleurnicher quand sa femme le fout dehors et te prend pour sa pute quand il lui vient une envie de se soulager ? L'espèce de dingue qui se prend pour je ne sais qui et dont tu as fait la richesse, en lui achetant cette substance "à rêves", lorsque tu as besoin pour t'exciter ou te faire oublier que tu n'es pas la fille si bien que tu voudrais paraître aux yeux du monde ? Et lorsque tu n'as pas assez d'argent, car ça coûte cher cette saloperie qui te fait planer, tu es très « gentille » avec lui, en te dégoûtant le lendemain ? Celui qui va perdre le pouvoir et qui t'enverra chier dans les mois qui vont venir quand tout deviendra compliquer pour lui ? Je passe la liste, je ne voudrais pas me rabaisser à ton rang de l'indécence. Je ne voudrais pas donner trop de détails. Donc, arrêtons là, la liste trop nombreuses de ceux que tu penses être tes soupirants et pour lesquels tu représentes qu'un instant de plaisir pour eux.
Combien d'hommes t'ont dit « je t'aime » ? Plusieurs, je sais ma belle. La question qu'il faut que tu te poses, c'est, combien ont été sincère ? Tu veux savoir ? Ceux qui ont été peut-être sincère, c'est ceux qui te l'ont dit bien avant de se retrouver dans ton lit ou dans le leurs. Ceux qui te l'ont dit lorsqu'ils étaient à jeun et pas lorsqu'ils finissaient avec toi la bouteille de vodka, pour oublier ce vide affectif qui te ronge temps et qui finira par devenir ton seul compagnon.
« Je t'aime », ne se dit pas pendant ou après un coup de bite. Ou alors dit toi que c'est ton cul et ta moule qu'ils ont aimé. L'amour du plaisir n'est pas celui des sentiments. Nuances. Je sais que tu affectionnes aussi ce mot. Enfin, c'est surtout l'un que tu dis le plus fréquemment, ou plutôt, que tu répètes comme un perroquet le plus souvent en ignorant sa véritable contenance et signification.
Donc question : combien d'hommes t'aiment vraiment ? Aucuns. Ils aiment ton cul et ton visage. C'est tout. C'est peu. Que dis-je, c'est peu. C'est rien.
Où est l'amour ?


J'ai pu te faire fermer tes pages facebook. J'en suis fort aise... Enfin, soyons clair. Tu m'en as interdit l'accès... et pourtant, tu auras toujours le doute que je sois dessus. Toujours... J'y suis peut-être en ce moment qui sait ? Rassure-toi, ta vie ne m'intéresse pas, ne m'intéresse plus.

Je t'aimais vraiment. Et je te l'ai prouvé sans que tu t'en aperçois parce que tu es bien trop égoïste pour te rendre compte de ce que quelqu'un peut ressentir pour toi. Tu ramènes tout à toi. Même ton fils passe après toi et ton petit nombril. Je t'en veux, mais surtout, je te plaint. C'est tellement triste que je n'ai presque plus de rancunes à ton égard. J'ai simplement de la pitié pour toi. Et pour moi, la pitié c'est le pire des sentiments que je peux ressentir pour quelqu'un. Je t'aimais et je te respectais. Aujourd'hui, je n'en suis plus certain. Cela ne laisse plus la place à un des plus beau, plus noble sentiment que j'avais pour toi : l'amour avec un grand A.

Je reprends un de tes thèmes : « Tu as voulu jouer, on a joué, tu as perdu ».
La première chose que tu dois savoir. Je ne jouais pas. Rentre toi ça dans la tête une bonne fois pour toute. Ensuite...
Qu'est ce que j'ai perdu moi ? L'amour que tu n'as jamais ressenti pour moi ? Tu ne m'as jamais aimé. Toi tu jouais depuis le début et même au sentiment de l'amitié. Je n'avais pas ton amour, pas plus que ton amitié et je doute sur celui de ta soi-disante sympathie et affection.
Je n'ai donc rien perdu dans cette "histoire". Pas ça en tout cas...

Réfléchi bien, tendresse. Fais travailler tes neurones si tu en es un temps soi peu capable.
Je n'ai rien perdu que les chaînes de mensonges et de sadisme que tu enroulais autour de moi. Mais tu as bien vu que ce n'était pas si simple de me les imposer ? On ne joue pas avec moi. On ne m'impose pas...
Réfléchi bien. Qui a perdu le plus de nous deux ?
Je ne jouais pas avec tes sentiments comme tu le fais avec tout les gens que tu cotoies. J'étais sincère. Je ne suis pas acteur, moi... La vie n'est pas une série télévisée.
La seule qui a perdu, c'est toi. Toi seule.
Je te laisse avec ta vengeance incompréhensible. Ta paranoïa. Ton égo sur-dimensionné, qui s'appelle égoïsme et narcissisme à l'extrême. Ta méchanceté. Ta cruauté. Ton abyssale intolérance. J'en passe... Tout ce que tu aimes et que tu vois comme tes qualités, à mon avis, ne te grandie pas et finira par te détruire et te laisser crever seule bouffée par tes chats... sans personne pour te tenir la main à ton dernier jour.

Moi, je t'aimais. J'acceptais tout par amour pour toi. Amour, tu comprends la signification de ce mot, de ce sentiment ? J'en doute fortement.
Et par la faute de tout ça... Par tes erreurs et tes méchancetés...
Tu viens de perdre mon amour. Je ne t'aime plus.

Je t'expliquerai tout et comment cela est arrivé dans un autre billet, même si je doute que cela puisse t'aider dans l'avenir, sur ce qui c'est passé ce mois de juillet 2010 (en plus de mai 2011). Je pense que tu ne sais pas tout. Je te dirai tout ce que j'ai sur le coeur. Mais plus tard et si je ne zappe pas tout ça une bonne fois pour toute. Parce que j'ai mal de tout ce qui s'est passé, de tout le mal que tu m'as fait gratuitement et sans aucune raisons. Tu l'as fait par sadisme et pour t'amuser gratuitement. J'ai trop mal...
Nous aurions pu être heureux. Je dis bien « nous ». Parce que l'amour se conjugue à deux. J'ai l'impression que tu n'arrives pas à assimiler ça dans ta cervelle malade. Ton fils n'était pas un obstacle à notre bonheur et pas plus ta carrière professionnelle. Je parle pas de celle qui est ta passion, mais celle que tu exerces tous les jours sans grandes convictions et qui t'offre le droit au titre de fonctionnaire et à une sécurité de l'emploi dont tu abuses par ton incompétence. Il n'y avait pas d'obstacles à notre amour. J'aurais aimé ton fils comme le mien et j'aurais accepté que tu brûles les planches. Je t'aurais même conseillé et soutenue dans cette voie, puisque c'était ton rêve, que c'était une partie de toi. Je souhaitais ton bonheur et ton bien-être parce que je t'aimais, moi. J'aurais fait tout ça comme lorsque je te donnais des adresses de garages pas cher pour que tu puisses aller t'acheter tes pneus ou réparer ta voiture à moindre coût. Tu te souviens ?
Ce sont des choses qu'on fait lorsqu'on aime quelqu'un. On soutient l'être cher. On ne l'éclabousse pas. On n'essaye pas de le détruire gratuitement avec sadisme sans aucunes raisons valables.
Non, il n'y avait pas d'obstacles. Et tes copines ne l'étaient pas non plus, ni tes collègues ou plutôt, elles n'auraient pas dû l'être si tes sentiments à mon égard avaient été aussi grands et véritables comme l'étaient les miens. Si vraiment, tu m'as aimé, comme tu l'as laissé faire croire et paraître, c'est dommage, parce que tu m'as perdu.
J'étais vraiment sincère avec toi. Tu as tout gâché. Et c'est vraiment dommage. Tu ne sais pas ce que tu as raté et à côté de quel bonheur tu es passé. Non, vraiment pas. Je t'aimais vraiment et tellement fort ! Je t'aimais plus que moi. J'avais besoin de toi... et contrairement à tes mecs « bons coups » qui se moquent de toi, il n'y avait pas que ta jolie gueule et ton cul qui m'intéressait. Sinon, je t'aurais baisé comme tu le voulais et comme les autres le font, puisqu'il n'y a que ça qui t'intéresse chez les hommes. Enfin, ça c'est la façade pas vrai ? Pourquoi pleures tu le soir lorsque tu es seule dans ton lit froid ? Froid comme ton coeur et ton âme...
Moi, c'était entièrement toi que j'aimais, avec tes qualités et tes défauts.

Tu n'as pas compris combien je t'aimais. Tu aurais pu m'appeler, m'écrire, me rassurer, me pardonner mes erreurs, mes maladresses, ce qui a été peut-être qu'un malentendu. Tu n'as rien fait. Tu m'as écrasé... c'était plus simple. Je t'aimais et j'avais besoin de toi. Cela t'es égal, tu ne t'en soucies pas...
C'est toi qui a perdu à ton jeu débile, ce mauvais rôle, que tu jouais seule. Tu as perdu mon amour. C'est fini.
Je te le dis ce soir et tu peux avoir des regrets. Je l'ai décidé à la mi-mai. Tu m'aurais appelé il y a de cela encore quelques mois de ceela, je me serais jeter dans tes bras... comme un idiot... aujourd'hui, tu lis ça, c'est trop tard.
Tu penses que tout le monde t'aime, ma pauvre fille ? Personne ne t'aime. J'étais le seul et je pense que personne ne t'aimera jamais, parce que tu n'aimes personne que toi. Tu es seule petite égoïste. Toute seule...
Alors regarde ta gueule dans un miroir pendant que tu es belle. Continue de ne penser qu'à ton cul et à ta chatte, et partouze bien à jeun ou bourrée à tomber par-terre avec ta copine-bouteille vodka, puisqu'il n'y a que ça qui t'intéresse. Qui te fait croire que tu es plus humaine que les autres...

Tu ne sais pas à quel point tu m'as déçu.
Et aujourd'hui, je te l'annonce officiellement...
C'est fini. Je ne t'aime plus.
The game is over ! (puisque toi tu jouais)
Fin de l'histoire.

Coupez !

CLAP

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