a voté !

13 juin 2012

Dimanche dernier, j'étais debout à 7H00 du mat' et je me suis apprêté pour aller voter à 8H00, au champs du coq des dimanche. Oui, le coq se lève à cette heure-là ce jour là. C'est comme ça.
Et à 7H50mn, j'étais au bureau de vote la goutte au nez et la bave écumant de la bouche. Si ce n'est pas de la passion ça... qu'est ce que c'est ? De la rage ? Possible... possible...
Bref, la dame, copine de Lucie (au passage) m'a dit que je ne devais attendre l'heure d'ouverture précis du bureau de vote. Là j'ai regardé ma montre et je me suis rendu compte que j'avais dix minutes d'avance. Que faire ? Abuser sexuellement des dames qui me barraient le passage et par la même occasion de faire subir aussi les derniers outrages à mon maire qui était là aussi ? Il n'aurait pas mieux demander le coquin vicieux... Si si... je le connais. Il aurait demander sa part et en aurait demander deux fois... je sais.
Attendre sagement que ce soit l'heure pour voter et lire la pub qu'il y avait sur une table ? Oui, il y a de la doc' là-bas. C'est comme ça chez nous.
Finalement, j'ai choisi la deuxième option. J'ai attendu. Bon, j'avais l'air d'un blaireau que je suis. Mais c'est la vie. Si j'étais le seul blaireau, je n'étais pas le seul à attendre. On était quatre à s'être donner le mot.
Et puis, une dame est venu nous chercher. On m'a laissé passer tellement j'avais une tête de dingue pour aller voter. J'arrive de nouveau devant copine de Lucie et lui tend ma carte d'identité et ma carte d'électeur. Oui, il faut les deux. Enfin, la carte d'identité est importante. Je prends mes bulletins votes parce que j'aime bien faire semblant de faire mon choix d'indécis et je vais jusqu'à l'isoloir afin de m'isoler (jusque là, logique). Je pense que j'ai pris le milieu pour un isoloir... d'ailleurs... mais c'est pas grave. Bref, j'ai plié soigneusement et glissé dans l'enveloppe mon bulletin du monsieur « front de gauche » et je me suis jeter sur les messieurs qui m'attendaient. Raaaah...
J'ai montré ma carte d'identité, ma carte d'électeur. Comme d'habitude on m'a tamponné ma carte. L'urne s'est ouverte. « À voté ! ». J'ai signé le registre comme quoi j'avais voté. Et je suis parti et au passage j'ai salué Anieska et mon maire qui n'a pas pensé bon de me répondre cet enculé. Enculé va ! Roulure de maire socialo va !
Je suis rentré chez moi.

Je vous raconterai ma folle après-midi et soirée de dimanche. Ça vaut le coup, croyez moi.
La suite demain parce que je dois mangé et qu'il faut laisser un peu de suspense...