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L'homme qui n'a pas d'étoile
28 octobre 2012

Nos sauveurs seraient-il aussi nos bourreaux ?

Le froid est de retour plus tôt que nous l'attendions et avec lui vont revenir tous les cortèges d'hypocrisies qui nous sont servi depuis trente ans. Oui, j'ose prononcer le mot, hypocrisie de l'état, des pouvoirs publics, des mairies et soit-disant services sociaux et même des associations. D'ailleurs, ces dernières (les associations, c'est important de le souligner) vivent depuis des années sur le dos de la misère grâce aux différentes subventions qui leurs sont accordées. Je ne veux pas dire que c'est le cas de toutes les associations et il est plus qu'utile qu'elles existent, mais il y a certains cas qui méritent d'être souligné. Je pense que dans notre pays, plus personne n'ose dire les choses telles qu'elles sont. Moi, j'ose les dire pendant qu'il en est encore temps.

Comment peut-on accepter que des citoyens français, des compatriotes vivent dans la précarité et la misère ?
Si on regarde bien, nous sommes revenue à l'époque des années 1950, celle de l'hiver 56, où un certains députés dit l'abbé Pierre avait dû sortir de la chambre des parlementaires pour descendre combattre la misère dans la rue pendant que ses collègues élus de l'époque, droite et gauche, restaient bien au chaud dans leurs hémicycles.
Nous sommes pourtant au 21ème siècle qui ne s'appellera peut-être pas le siècles des lumières, parce qu'il n'a pas débuté dans les idées brillantes et innovatrices, mais c'est à craindre, siècle de l'illusion humaine ou siècle des ténèbres. Heureusement, ce siècle ne fait que commencer. C'est vrai, la technologie avance pourtant, mais pas la vue sur une société plus humaine et plus juste. Mais je pense que les élites (belles conneries que ce mot et injustifié et inapproprié, selon moi) n'ont pas la même conception que moi sur le mot société et certainement pas sur celui de patrie. C'est d'ailleurs pour ça qu'on essaye de bâillonner les personnes comme moi de peur que le progrès sociale avance dans les esprits et dans les coeurs des gens.

Lorsqu'on nous parle de précarité dans notre pays, à la télévision ou autre médias, c'est avec des caricatures, comme les sans-papiers étrangers et les Roms. Oui, j'ose aussi le dire. Les associations font dans le misérabilisme sur des gens qui sont dans une vraie souffrance, mais une souffrance voulue, par les gouvernements qui se sont succédés et aussi un peu, par les chefs de clans de ces tribus qui se font de l'argent sur les membres de leurs communautés.
Les médias nous font aussi le cirque des immigrés sans papiers. Bien sûr que ce problème existe et qu'il faut en parler et apporter des solutions humaines à la misère de ses pauvres gens. Mais il ne devrait pas y avoir des personnes en situations irrégulières, en France ou ailleurs, travaillant à mains d'oeuvres peut coûteuse importés par le capitalisme décadent et bestiale comme ce fut le cas pour la traite de l'esclavage au 19ème siècles. Je n'accuse pas, même si je dis bien que c'est voulu, les étrangers qui sont avant tout des victimes pour la majorité d'entres-eux. Mais j'accuse les petites combines du capitalisme à exporter, je le répète, une manoeuvre à bas coût, pour tuer l'emploi dans notre pays en plus de l'exporter dans d'autres pour des produits que les gens de là-bas ne pourront jamais se payer; alors que ça devrait être le cas. Je le répète afin que ce soit bien ancré dans les mémoire : Cette méthode est digne des états esclavagistes du 19ème siècles. Situation qui n'a d'ailleurs pas tellement évoluée, si ce n'est sous une autre forme. Et on nous parle de liberté et d'égalité. On (les politiciens, les capitalistes et leurs sbires) nous prennent vraiment pour des cons. Et si nous l'acceptons, c'est que nous le méritons et nous sommes condamnés, je vous l'affirme, à l'extinction de notre peuple et notre pays, dans plus très longtemps maintenant.

Qu'on ne me dise pas que les français ne veulent pas faire le boulot surtout, et surtout pas les associations décadentes et complices des crimes contre l'humanité fait à notre peuple, parce que c'est faux ! Tout travail mérite salaire et tous travaux pénibles mériterait d'être mieux rémunéré avec un salaire décent. Ainsi les travailleurs manuels, la majorité du peuple en sommes, pourraient vivre dignement du fruit de leur travail et cela ne serait que justice. Ce n'est pas si simple me direz vous et cela encouragerait la facilité ? J'affirme le contraire et j'en ai marre de voir que les politiciens et les technocrates laissent le peuple se complaire dans cette croyance en le laissant vivre dans la misère et la souffrance d'une vie jamais satisfaite et épanouie. J'en ai marre de voir mon pays se désagréger, jour après jour, et devenir un pays du tiers-monde.

Dans notre pays, la souffrance touche aussi les enfants de notre nations, les tout petits, les innocents. Combien de siècles faudra t-il encore à l'humanité pour trouver anormal qu'un enfant ait les yeux éteint par le désespoir ?

Les restaurants du coeur vont encore être de la partie cet hiver. Aujourd'hui, je pense qu'ils sont devenu les otages des gouvernements incapables qui se sont succédés sans aucunes intentions d'apporter de véritables solutions à des problèmes qui les regardent pourtant. Qu'est ce que la politique, sinon l'amélioration et le bien-être d'une nation ?Aujourd'hui, c'est le parti socialiste qui est au pouvoir et la misère est toujours aussi grande sans que le premier ministre et le président de la république ne pensent devoir faire quelque chose pour en changer les effets. Espérons, à l'entende de son discours de samedi dernier, que les choses vont enfin bouger favorablement. Il serait plus que temps que des mesures soient prises rapidement maintenant et pas en 2013 ou 2014 ni au prochaines présidentielles en 2017 !

Je pense que si rien n'est fait, c'est aussi parce que cela arrange ces associations qui n'ont absolument pas envie que ça bouge. Au contraire, c'est leur gagne pain. Dans mon département, je les vois se plaindre et pleurnicher, mais ils s'arrachent la pauvreté des sans-abris, des étrangers illégaux, des différentes tribus tziganes (que leurs pays nous envoient parce que nous sommes bien généreux pour nous en occupés), des rmistes au rsa, en gros et au bilan final, de la souffrance humaine toujours plus grande.
Peut-être qu'on va dire que je suis un salaud de dire ça, mais je ne retirai aucun mots, pas un, de ce que j'affirme parce que c'est la vérité.
Aujourd'hui en France, j'ose dire, il y a six millions de chômeurs et 12 millions de pauvres et personne ne lève le petit doigt en faveur de mesures urgentes pour lutter contre la pauvreté grandissante. Aucunes mesures pour les plus fragiles, surtout pour les gens dans la précarité et isolés, les personnes âgés, les femmes seules avec ou sans enfants et croyez moi, je sais de quoi je parle. Les CCAS ne s'occupent pas de ces personnes et ce n'est pas seulement parce qu'ils manquent de subventions, mais parce que certaines personnes qui y travaillent font mal, voir pas du tout, leur boulot et n'assument aucunement leurs fonctions. Et ces personnes, soit disant travailleurs sociaux, sont tellement fiers de s'afficher derrière la photo de Coluche en vous tendant le droit d'un bon pour aller aux restos du coeur comme on donne la pâté à son chat. Ce n'est pas cela l'esprit de Coluche, ce n'est pas ce qu'il voulait ! Ecouter Josiane Balasko et vous entendrez sa voix !
Par contre, ces « travailleurs sociaux » et autres agents territoriaux, souvent les deux, encaissent bien leur payes, je vous rassure. Voir, parfois, ils cumulent les mandats et les fonctions comme nos politiciens. Je pourrais vous citer au moins trois associations et c'est déjà trop. En tout cas, je ne vois pas où est le « regain » pour ne dire que ça. Je me comprends. Quand aux CCAS je n'aurais pas de mal à démontrer leurs incapacités.

Oui, voici le temps de misère revenue et de l'hypocrisie générale. On va nous faire quelques simagrées. Des associations vont nous demandés de contribuer à la sortie des grands magasins (enfin ceux qui pourront, même si c'est souvent les mêmes personnes qui sont les plus généreuses) à l'aide aux restos du coeur et à différentes causes associatives contre la fin et la précarité etc. Je ne dis pas que c'est inutile, je dis que c'est de l'hypocrisie voulu, non seulement, par les politiciens de tout bord, mais aussi par les associations de vautours et même par la majorité de nous tous, citoyens de France. Oui, le peuple porte une grande responsabilité de cette organisation de la pauvreté, de la misère, de la maladie, qui sévit dans notre pays. Les gens soutiendront et dans la majorité je sais que c'est sincère, mais si nous réfléchissons une seconde, ce n'est pas normale. À qui le tour demain ? Je ne cesse de le répéter et je pense que c'est en vain. D'ailleurs on m'a souvent demander de fermer ma grande gueule, parce que moi, je ne trouvais pas cette situation normale. Et j'ose le dire, sans concessions, parce que ça commence à bien faire, il faut changer cette mentalité d'accepter que des gens vivent dans la misère.
Oui, nous sommes responsable de cet état de faits et de penser que cette dernière est normale et que cela n'arrive qu'aux autres au risque que l'avenir nous fasse vite déchanter.
J'ose dire que la solution et les mesures doivent être prises par les gouvernements et que personne ne doit être mis au banc de la société. Oui, c'est aux politiciens de faire leur travail et à l'état de prendre en charge son peuple agonisant meurtrie par le capitalisme assassin qui l'a confiner à cette immense précarité dont personne ne veut voir la réalité en face.

J'ose dénoncer les combines des associations qui sont payés par les conseils généraux et régionaux et qui font le tri des personnes qu'ils aideront ou pas, laissant souvent les plus faibles et isolés dans une misère la plus totale sans aucuns espoirs de se relever un jour. J'ai constaté cela en personne. Ce n'est pas normal.
Oui, j'affirme que les pouvoirs publics et ces associations sont responsable de cette précarité sans avoir la volonté d'aider à élever les gens mais et les rabaisser.
Nous sommes aussi, nous le peuple responsable de les laisser cette situation perduré et de pleurer sur la détresse de nos voisins, mais tant que cela ne nous tombe pas sur le coin du nez (pour être poli) nous pensons que cela ne nous concerne pas et que tout ça,  nous n'y pouvons rien. Hors, tout nous concerne, puisque tout le monde va finir par être touché, à part peut-être un millions de riches et leurs proches collaborateurs, en France.

Quoi que cette affirmation peut encore être contester, parce que selon certains organismes médicaux, le retour de maladies et d'épidémies qui avaient disparues depuis le moyen-âge sont de retour dans l'air et pourrait toucher et se déclencher en Europe dans les mois qui viennent. Ce n'est plus les années, c'est bien les mois, qui sont prononcés ! Ces maladies ont deux causes. La première, nous voyageons bien plus loin et plus souvent à l'étranger (surtout les riches), mais aussi, parce que nous ramenons des maladies et nous les portons à présent en nous et nous les transmettons. Et bien sûr, presque aucun médias n'en parlent. Sauf Arte, chaîne franco-allemande, non restreinte au diktat de la censure audio-visuelle politico-médiatique. Et j'ose le dire, par la faute de la mafia, des associations et peut-être même d'une forme de franc-maçonnerie nocive à notre pays et dont personne ne parle. Est-ce normal tout cela ? Non bien sûr. « On ne vous dit pas tout » ? Non, c'est vrai, mais cherchez et maintenant vous savez ! Regardez autour de vous ! Voyez plus loin que ce que vos yeux peuvent voir et osez dire tout haut ce que tout le monde convient à dire tout bas. La seule élite, la seule noblesse c'est NOUS le peuple.

Mon discours pourra vous sembler un tantinet conservateur ou nationaliste mais il ne l'est pas. Je n'ai pas peur de ce genre de critiques. Car, je suis patriote et je pense que notre peuple toutes ethnies et religions confondues doit faire passer un esprit solidaire entre tous et penser à son intérêt afin de résoudre ses problèmes avant de penser à ceux des autres. J'en appelle au Peuple qui fait la Nation. Et je le dis bien, le Peuple ce sont les gens, de toutes couleurs (je le souligne) de toutes les religions et non croyant ! Assez de simagrées avec les prétextes religieux ! Je suis républicain et tout autant que socialiste et je préfère parler des vrais gens et ne pas me convenir dans la langue de bois comme le font nos soit-disant élites, toutes étiquettes politiques confondues, qui font encore s'engraisser sur notre dos pendant que nous crevons à petit feu. Sachez aussi que la misère dans notre pays touche tous les gens et ne s'arrête pas à la couleur de peau ou à la religion. 

Parce que c'est bien de cela qu'il s'agit. Ces soit-disant élites. Qui a proclamé qu'il devait y avoir des élites alors que la monarchie et l'empire ont disparue à ma connaissance ? Qui a décidé qu'il était normale que la misère humaine existe ? Qui a décidé que certaines personnes et associations pouvaient s'attribuer la souffrance d'autrui et se faire financer comme des souteneurs le font sur le dos (pour être poli) des femmes martyrisées appelées prostituées par notre belle société si parfaite ? Au nom de quel droit tout cela, sinon décidé par des parlementaires, des sociétés secrètes, des religieux aussi et bien sûr, les associations mafieuses ?

La pauvreté est présente pour 12 millions de gens dans notre pays. La pauvreté de ne pouvoir se nourrir, même en travaillant ! La pauvreté de ne pas pouvoir se vêtir, de ne pas pouvoir se soigner, de ne pouvoir s'instruire, de ne pouvoir se relever d'un échec et même d'avoir le droit de relever la tête ! Jamais il n'y a eut autant de misères et de pauvreté en France.
Que le peuple cesse de croire et de regarder toutes les conneries des journaux de France Télévision et d'autres chaînes comme Canal+ se faisant au passage leur beurre en reportage misérabilistes et pleines de fausses bonnes intentions qu'elles se payent sur le dos de la misère.
Il suffit de bien vouloir regarder autour de nous pour voir qu'il y a quelque chose de dramatique qui se joue actuellement et depuis trop longtemps.

Cela fait 7 années que j'en parle et c'est une année de trop pour que je vous narre une histoire "arrangé", que je n'ose pas, par pudeur et par respect, appeler belle, dont je me serais inspirée sur des faits toujours réels. Je n'accepte plus de collaborer à la souffrance des autres. C'est pour ça que je vous dis les choses comme je les sais et les vois.
Certaines personnes penseront que c'est ni plus ni moins que de l'hypocrisie de ma part. Que cette parce que je connais peut-être des conditions difficiles en ce moment et que c'est pour ça que je l'accepte moins. La question, bien que dans l'éventualité elle me serait posée, ne serait pas totalement dénuée d'intérêts et de réflexions. Mais ce n'est pas entièrement et la seulement la raison de mon engagement, je me bats déjà depuis longtemps, depuis 7 ans et à cette époque, cela allait "mieux" pour moi. De plus, la misère, je la côtoie certes maintenant, mais je l'ai vu chez les autres bien avant. J'essaye d'expliquer tout cela, mais j'ai l'impression de prêcher dans le désert.
On m'avait dit de me taire. Que dis-je, « dit » ? C'était une menace.
Me taire, cela aurait été trahir mes convictions et ma conception d'une société plus juste et plus égalitaire.


Cette misère qu'on nous fait accepter n'est pas irréversible et ce n'est qu'une question de volonté collective. Nous connaissons les causes et les coupables de nos malheurs et c'est à nous de refuser de nous trancher nous-même la gorge.

Enfin, il me faut terminer mon trop long discours accusateur. Oui, accusateur, parce que si nos politiciens sont complices avec le capitalisme bestial et ses sbires responsables de notre misère, elle l'est aussi de notre propre faute si nous acceptons encore l'inacceptable.
Il faut que la société change et cela doit être radicale pour un avenir de futur meilleur et plus juste.
Pour cela, il faut revoir nos conceptions de vie et de travail et accepter l'égalité des salaires et l'égalités entre les femmes et les hommes. Travail égal, salaire égal. Et je pense aussi, comme je l'ai écrit plus haut, qu'une personne faisant un travail difficile et physiquement fatiguant, devrait gagner autant en travaillant moins, ou plus en 35h, que quelqu'un qui fait une tâche intellectuelle.

Il y a des solutions, j'en ai, mais je me garderai bien de les donner puisque je ne suis pas payer pour cette fonctions. Nous avons élu des gens pour ça et ils savent se servir grassement des salaires pour faire ce boulot.

Je le dis et je le répète encore une fois. La misère et la situation actuelle n'est pas normale et n'est pas insoluble. Elle est voulue. Et si personne ne fait rien, nous finirons par revenir à l'état de singe plus qu'à celui "d'homme".
Je ne me tairai pas et je ne m'abstiendrai pas de critiquer nos bourreaux qui prétendent que c'est normal et qu'on ne peut rien faire de plus.
Je me refuse de participer au crime contre notre nation et contre notre peuple qui dure depuis trop d'années et d'accepter d'entendre que c'est la fatalité et qu'on ne peut rien faire parce que c'est la crise. La crise, elle a bon dos et elle n'est subit seulement par les petits et les sans grades tous les jours un peu plus nombreux !
Je refuse d'accepter qu'on nous dise que la pauvreté est normale et qu'il n'y a rien à faire que d'attendre et mourir dans notre coin en silence de peur que cela gêne les puissants qui sont coupables de notre mort.
Oui, je me refuse de me taire sur ce crime; pour ne pas dire, ce génocide fait aux gens de notre pays. Et n'étant pas plus égoiste qu'hypocrite, j'appelle tous les peuples des autres pays de penser comme moi et de refuser l'esclavage moderne du capitalisme décadent et de ceux qui veulent nous confiner dans cette précarité injuste et immorale.

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Commentaires
K
Bonjour,<br /> <br /> Sans sombrer dans l'extrême, nous pouvons penser à construire une société nouvelle plus équitable, plus juste et plus humaine. <br /> <br /> Je suis d'accord avec vous car la première reconnaissance des autres et de soi-même s'exprime par le respect. Vous avez raison de mettre l'accent sur le fait que ce respect disparaît dans cette société inhumaine et insensible s'exprimant par un ultra-libéralisme et ultra-individualisme qu'on pourrait taxer finalement par "égoïsme".<br /> <br /> Merci de votre commentaire très intéressant. <br /> <br /> Je vous souhaite une bonne journée
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E
Revenir à l´état de singe? Est-ce un mal?<br /> <br /> L´état sauvage, le bel état de nature Rousseauiste ... L´homme gouverné par la pitié, des désirs simples, respectant la Nature, ne voyant pas plus loin que son nez.<br /> <br /> <br /> <br /> Rousseau le dit bien, ce n´est pas possible, Voltaire répond: Il faudrait la venir rétablir dans l'air natal, jouir de la liberté, boire avec moi du lait de nos vaches, et brouter nos herbes. Mais Rousseau dit aussi que si ce n´est pas possible d´inverser cette dégradation de la société humaine, peut-être que si nous tendions même très légèrement à cet idéal, nous pourrions améliorer notre condition. L´individualisme, l´ égoïsme, le mépris ... les inégalités SOCIALES, artificielles ... conventionnelles je dirais... soustraites au respect de son prochain, en ce qu´il est mon semblable. N´est ce pas là la solution? Un peu kantien, pardonnez-moi, respecter l´autre en ce qu´il est un être raisonnable comme moi.<br /> <br /> <br /> <br /> Avant toute vie en société, il y a le respect, la reconnaissance de ces individus auxquels nous appartenons, ce respect n´existe plus, cette reconnaissance est voilée par des aspects sensibles divergents et des raisons voilées.
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K
Note de l'auteur - <br /> <br /> Je tiens à apporté cette note à la réponse que j'ai fait à Alain.<br /> <br /> Je ne pense pas que mon blog soit d'une grande importance face à la misère et la précarité que connaissent beaucoups (et de plus en plus nombreuses) de personnes dans notre pays.<br /> <br /> J'essaye, avec mes modestes moyens, de faire prendre conscience par certains textes (pas tous) qu'il y a des choses injustes qui se passe, dans l'indifférence ou le manque d'informations générale de la population.<br /> <br /> Je tiens à dire cela, parce que je ne voudrais pas qu'on croit que j'ai cette prétention. <br /> <br /> Mon blog n'est rien face aux actions des personnes comme Edith et à celles de nombreuses personnes bénévoles donnant leur temps sans rémunération et sans attendre de palmes glorieuses aux plus démunis ou au personnes en difficultés. <br /> <br /> Merci aux personnes qui me font l'honneur de me lire.
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B
Cher karleman ton billet est magnifique et j'en approuve chaque mot , chaque expression ! exactement ce que je pense et je ne suis pas la seule ! oui ça fait mal de voir nôtre pays se désagréger socialement à cause d'une gouvernance incapable de s'affronter aux lobbies du Fric ! oui les profiteurs d'une telle situation se gavent sur le dos du Peuple mais tu as bien raison aussi de souligner que NOUS sommes responsables de cet état de fait en grande partie à cause de l'indifférence de trop de gens - nous avons les " élites" que nous méritons , c'est à dire en fait " des gens qui s'en foutent ! " J'ai pu mesurer moi-même les ravages de l'indifférence ...c'est à mon avis le sentiment le plus honteux , le plus meurtrier dans ses conséquences , qu'il s'agisse du regard qu'on porte sur un être humain ou sur un animal ! Karleman je t'embrasse fort , ne perds pas courage mon Ami ;-)
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A
Je n'ai qu'une question : qu'est-ce que toi, personnellement, tu fais contre la pauvreté ?<br /> <br /> ( Hormis des discours…)
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