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L'homme qui n'a pas d'étoile
15 août 2013

On a pas toujours le choix des souvenirs

J'ignore combien de texte vont paraître encore sur ce blog. Pour tout vous dire, je n'aurai bientôt plus le choix de vous quitter pour diverses raisons.

Commençons par certaines mises au point. D'abord, c'est moi qui écrit ce blog et tous les plagias du monde de gens médiocres ne changeront rien à la personnalité unique que je suis. Il y a quelques jours, Zia avec qui je discutais sur le chat, à relevée qu'une de mes anciennes lectrices prétendait que je copiais le texte d'une chanson. Elle avait même ajoutée le lien à sa thèse de youtube (que je ne pouvais alors pas lire car en bas-débit). Finalement, j'ai lu son commentaire qui date de longtemps maintenant. A l'époque j'étais pris par d'autres problèmes que celui de voir à tel point c'était une sorte de contre-vérité de cette femme. Peut-être qu'alors, elle ne l'avait pas fait par méchanceté. Mais quand j'y pense, c'est vrai, elle l'a prétendu quand même. Comme si je ne pouvais pas trouver mes mots sans copier quelqu'un. Aujourd'hui je réponds à Elisa. Je ne me suis pas inspiré de cette chanson. C'est insultant de penser cela de quelqu'un et d'avoir une aussi basse considération de moi. 

Je vais donc être clair avec ceux qui pense cela.
Je n'ai pas besoin de copier qui que ce soit pour m'exprimer. Mon texte d'alors n'avait rien d'un plagia et surtout pas celui d'une chanson. Mon texte exprimait quelque chose de bien plus grave. Il était bien écrit et de plus, s'il y aurait eu inspiration, ce n'est pas d'une chanson. Je n'ai pas besoin de copier, Pierre, Paul, Jacques, pour écrire ce que je veux transmettre aux autres. Je le fais très bien moi-même. Je n'ai pas de grand diplôme pompeux à montrer à la face du monde. Pour dire la vérité, je n'ai aucun diplôme. Je n'ai nullement besoin d'ausweiss technocrate de l'éducation nationale débile pour prouver que je suis quelqu'un d'instruit. Je n'ai rien à démontrer. Je suis. Et m'exprimer, écrire et dire les choses comme je le fais, c'est la preuve d'une intelligence plus que moyenne. Mes professeurs n'ont pas décelés mes talents. C'est leurs problèmes et le résultat de leur incompétences. Je n'aurai pas la prétention de dire que je suis supérieurement intelligent. Je suis juste moi et c'est déjà assez difficile comme ça.

Je n'ai pas à me laisser rabaisser par qui que ce soit. Si certaines personnes m'envient; qu'elle fassent comme moi. Qu'elles s'expriment par leurs mots. Nous sommes tous quelqu'un. Moi, je suis moi. Je m'en contente et je m'ne conviens, même si j'aurais voulu être un homme bien plus "supérieur" à ce que je suis. Je suis moins médiocre que les gens que j'ai rencontré dans ma vie et qui se pense au-dessus des autres alors qu'ils sont, à mon avis pour ne pas dire à mon sens, bien en-dessous.

Je ne suis que rarement à l'affiche parce que je dérange. Je dérange tout le monde et pourtant mes écrits font gagner Canalblog alors que moi j'ai beaucoup de mal à payer mes factures. Je ne viens pas prendre conscience de tout ça. Je le sais depuis quelques années maintenant. Ca aussi, il me fallait l'écrire avant qu'il soit trop tard. 

Et venons-en justement aux problèmes de fric que bien des gens rencontre en ce moment. J'en ai des problèmes moi aussi. Je sais ce que s'est d'arriver au quinze du mois comme aujourd'hui et de n'avoir presque plus d'argent pour pouvoir manger jusqu'au trente-et-un. Malgré que les journalistes parlent de relance économique, je n'en vois pas pour moi et moins égoïstement peu pour d'autres également. Je n'ai même plus de rendez-vous avec mon conseiller-emploi. J'ai même vu dans mon dossier sur internet que ce n'était même plus la même personne qui suivait mon parcours professionnel. Figurez-vous, les gens, que j'en souri tellement la situation est comique en plus d'être dramatique. Le respect envers certains demandeurs d'emplois est quasi inexistant.
Je brûle mes dernières cartouches. C'est un fait.

Je vais vous expliquez à tous quelque chose de très important. Il est certain que je n'ai pas la chance d'avoir une famille ni de véritables amis sur qui je puisse compter si je fini par trébucher. Et je sais aussi, parce que je suis suffisamment intelligent pour ça, qu'il y a huit chances sur dix que cela arrive. Je n'ai donc personne sur qui me reposer. 
Et la seule personne qui semble tenir à moi en ce moment ne pourra rien faire pour m'aider. Je suis désolé de lui dire ça. Elle est adorable. Elle est belle. Elle est jeune. Mais, elle est impuissante devant les difficultés qui sont les miennes. Pire encore, cela ne la regarde pas. Je le souligne, parce qu'elle vraiment gentille. J'ai lu son texte de hier soir et je veux lui dire qu'elle est une fille bien. Mieux encore, elle est une femme bien. A vingt ans, elle n'est plus une gamine. Exit la petite adolescente qu'elle fut par le passé. Aujourd'hui c'est une femme et je la respecte en tant que telle. Merci Zia.
Je disais donc que je n'avais personne. Et personne c'est personne. Avoir quelqu'un c'est partagé sa vie. Je ne suis dans la vie de personne. J'ai une famille. Mais je n'en ai plus à mes yeux. J'ai des amis(es). Mais je n'en plus à mes yeux. 
Mon idéologie me permet de dire et mettre à exécution mes projets. Peut-être que c'est dur à lire et à entendre pour certains(es). Mais dans mon esprit et dans ce que je suis, c'est logique. Pour pouvoir m'asseoir au conseil, je dois apporté quelque chose. C'est la tradition de mon clan. Je ne peux plus rien apporter. Du moins, ce que je peux apporté ne me suffit pas. Donc, je ne viendrai pas m'installer autour de votre feu. Interprétez le comme bon vous semble mes propos. 

Mon ordinateur qui a déjà huit ans ne fonctionne plus très bien. En plus de tous les problèmes qui m'accables en ce moment. Je l'avais pourtant fait réparé et cela m'avait coûté déjà assez cher. Parce que le moindre sous dépensé est un trou dans mon petit budget. Et il ne fonctionne pas bien depuis sa réparation. Alors laissez-moi vous dire que j'ai la rage. Parce qu'en plus, je me suis foutu dans la merde et que le réparateur n'est qu'un incapable. Il n'est pas cher. Mais il est incapable pour moi et il a très mal fait son boulot. J'en ai vraiment marre. C'est ça la nouvelle société qu'on veut proposer à notre pays ? Cela ne me convient pas. Le bricolage c'est bien. Mais cela reste du bricolage. Les compétences ne se reconnaissent pas avec des milliers de diplômes plus débiles les uns que les autres. Les technocrates sont des crétins. Et je le dis devant vous aujourd'hui, ceux de l'éducation nationale sont les plus atteint. Tous les technocrates sont des imbéciles. Nous avons, dans notre pays, les plus médiocres. Tout cela, à cause des petits chefs, devenu des grands-chefs et qui sont encore plus incapables et j'ajoute débiles (droite comme gauche). Tel chef, tel peuple, tel pays, telle nation. C'est la décadence. Cela ne me convient pas.
Et lorsque je vois les religieux, de toutes confessions, prendre le dessus sur les idées politiques qui sont concrètes et non spirituelles, je me dis que c'est le commencement de la fin de notre grande nation vieille d'un peu plus de mille ans. Lorsqu'une nation en est à ce point, cela annonce le sapin. Descendez les cercueils.
Cela peut paraître un peu pompeux ce que j'écris. Mais c'est la stricte et triste vérité. 

Je pense que je n'aurai bientôt plus de moyens d'expression. Et par la même, je n'aurai plus d'existence.
Je n'ai personne à qui demander de l'aide et je n'en demanderai à personne que je connais. Ce n'est pas dans mon idéologie.
De plus, il n'est pas question que je demande une aide non justifiée. Et surtout pas à une personne qui m'aimerait ou penserait m'aimer. Il y a des services pour aider les gens. Je ne veux pas seulement une aide. J'exige le droit à la justice sociale, que toutes les personnes seraient en droit de demander à toute la racaille politicienne qui dirige ou a diriger le pays, qui me revient.
Et cette justice, apparemment, je n'y ai pas le droit. 

Lorsque je ne pourrai plus faire face à ce qui m'accable, je mettrai fin à tout ça. 

Je pense à Lucie que j'ai rencontré avec son chéri il ya quelques jours. Elle semblait surprise ou bien satisfaite. Je l'ignore. Je n'essaye plus de comprendre les expressions de son visage. Cela m'est égal. Elle pense qu'elle a gagné sa petite guerre ? Tant mieux pour elle. Je ne lui ai pas fait la guerre. C'est pour ça qu'elle est victorieuse. Sinon, je l'aurais défait. Ce n'est pas prétentieux ce que je dis. C'est la stricte vérité. Je ne voulais pas faire la guerre à Lucie. Je l'aimais. Je ne fais pas la guerre à la femme que j'aime. Je lutte pour exprimer mes idées. Je lutte avec dureté, c'est vrai. Une lutte n'est jamais facile. Je me bats sans faire la guerre. La guerre arrivera bien assez tôt. Et je doute que notre pays, notre peuple et donc notre nation, soit prête à faire face à ce qui malheureusement l'attend. On ne vous le dit pas parce qu'on sait que la défaite quasiment certaine et qu'elle a été prémidité par nos nombreux ennemis. Vous allez apprendre, tous à vos dépends, (et moi aussi par retour des choses) ce que le mot "guerre" signifie. 
Pour l'heure. Je plaint Lucie. Je ne pensais pas que cela m'arriverait. Mais je la plaint pour sa médiocrité. Finalement, quand j'y pense, je crois qu'elle ne me méritait pas. C'est dommage. Je l'aimais sincèrement et de tout mon âme. Elle s'en est rendu compte alors et apparemment, cela ne lui a pas plu et elle en a profité pour me faire du mal. Je peux comprendre qu'elle ne m'aimait pas. Je peux moins comprendre le grand tors qu'elle m'a fait. Je ne peux lui pardonner. Elle sera responsable de ce qui m'arrivera. 

Je n'aimerai plus personne. Je suis désolé. Un homme doit pouvoir subvenir au besoin de la femme qu'il aime. C'est dans ma doctrine, là aussi. Je n'aimerai donc plus personne.
Je ne veux pas dire que je suis incapable de ressentir des sentiments amoureux pour une femme. Mais il est hors de question pour moi de vivre au crochet de la femme que j'aimerai. J'ai une conception des choses. Et je m'y tiendrai comme je m'y suis toujours tenu. C'est dit.
C'est peut-être dépassé. Mais c'est en quoi j'ai foi.

Je ne rejoindrai jamais aucunes sectes non plus. Et ceux qui croient en dieu feraient mieux de prier pour leur salut plutôt que pour le mien. Je n'ai point besoin de prières. J'ai besoin d'actes de justice sociale. J'en ai rien à faire de toutes les conneries de bon-dieuserie. Alors que ce soit clair. Si vous avez un message religieux à me donner, ne déposez pas de commentaire. Sinon, je vous massacre. Je n'écrit pas cela pour le plaisir d'écrire. Entendez-le bien. 
Je vais être bien plus clair. J'en ai rien à foutre des témoins de Jéhovas ou des autres. J'en ai rien à foutre. C'est bien entendu ça ? J'en ai rien à foutre de dieu. S'il m'aime un peu, il n'aura que remplir mon compte en banque ou m'envoyer une chance difine que je pense mérité. La moindre chance, autre qu'amoureuse bien sûr (et encore j'ai des doutes), est la bienvenue. Que les témoins de Jéhovas ou autres bondieuserie du web gardent leurs congénères hors de ma portée de tire verbal. J'en ai rien à faire de tout ça. Je m'en fout de la parole divine. Je m'en fout de toutes les paroles et de tout ce que les religieux pensent et veulent me transmettre. Je n'ai pas besoin de paroles d'évangiles. J'ai besoin de faits concrets et justes. 
Je ne voudrais pas être méchant ni violent verbalement ou dans le réel physiquement avec des religieux. Pour moi, chacun à le droit de croire ou pas. Je suis républicain en plus de mon idéologie que je pense juste, bonne et seule solution pour le bien de notre nation. Je ne me base pas que sur la religion. Je crois déjà en l'humain. Je crois aussi et avant tout en l'avenir de ma nation et de mon peuple : les français. Je suis obligé de le souligner parce que de nos jours il y a beaucoup d'amalgames. Je pense à tous les français, quelque soit leurs couleurs ou leurs religions. La France est la France. Les français sont ce qu'ils sont aujourd'hui et tous le sont également au sein du pays. Voilà. 

Enfin, je termine ce texte d'aujourd'hui par une dernière chose. Je vous avais dit que je vous parlerais d'une personne qui s'est permise de rentrer ma vie. Ce n'est pas de Zia que je vous parle. Je vous parle d'une personne qui fait semblant d'être sympa avec tout le monde et qui ne l'est pas. Elle a envahie ma vie sans y être invitée presque depuis la création de mon blog. Je ne l'aime pas. Je veux qu'elle le sache. Sa responsabilité est grande sur les difficultées que je subi actuellement. Elle porte une immense responsabilté à mon échec. Je ne lui pardonnerai jamais. Même dans la mort, lorsque cela arrivera. Je ne lui pardonnerai jamais même si elle mourrait demain. Je ne suis pas dieu pour pardonner. Je ne pardonne pas. C'est trop grave. On ne ment pas aux gens comme elle l'a fait. Je ne connaissais pas et elle ose même prétendre le contraire. Et je n'aime pas la femme qu'elle est. Je n'aime pas sa personnalité. Je n'aime pas les menteuses. Je n'aime les gens faux. Je n'aime les gens qui prennent du plaisir à tromper les autres. Ce n'est qu'une égoïste. Zia la qualifiée de monstre sur son blog. Elle a trouvé les mots juste.
Le sort de cette femme ne m'intéresse pas. Elle n'est rien pour moi. Je veux qu'elle le sache. Et je veux qu'elle sache aussi, que la seule personne que j'aimais, c'était Lucie. Malgré tout ce que Lucie m'a fait, cette personne reste à la dernière place. Actuellement, elle passe même après Zia. Que dis-je ? Elle n'a pas de place sur le podium. Elle n'aura jamais sa place dans mon coeur. Jamais. Que ce soit clair et entendu, pour elle, comme cela l'est pour moi.
Je serais incapable de l'aimer. D'abord parce que je ne la connais vraiment pas bien qu'elle le prétende. Ensuite, je ne peux pas vivre un amour virtuel. J'avais besoin de quelqu'un de réel. Si une femme peut prétendre à une éventuelle place amoureuse dans mon coeur actuellement, ce n'est pas elle. Par son comportement, elle en est définitivement exclue. Ma décision est irrévocable. 
Elle m'a fait beaucoup de mal. Qu'elle ne vienne pas dire qu'elle m'aimait. Aimer, ce n'est pas cela. Elle ne connait pas l'Amour. Je pense même qu'elle est incapable d'aimer qui que ce soit, à part elle-même, peut-être. 
Elle ne vient même pas à la cheville de Lucie qui pourtant est une femme mauvaise.
J'interdis formellement à cette personne de penser que je suis son amour. Je le permet à Zia puisque cela semble lui faire plaisir. Mais pas à elle. Je ne prononce même pas son pseudo. Cela veut dire qu'elle n'existe pas pour moi. Je lui ai offert mon amitié. Elle s'en est servi pour ses desseins de dingue. Elle m'a trompé. A présent, je ne suis même plus son ami. Et, cela aussi, c'est une décision irrévocable. Elle a fait beaucoup mal à d'autres personnes parce qu'elles souhaitaient m'isoler. Par sa faute, j'ai décidé de mettre fin à tout contact avec mes lecteurs/trices de Canalblog. Elle est donc responsable de ce qui arrive et si vous n'avez plus de mes nouvelles, c'est à elle que vous le devez.
Je n'emporterai pas son souvenir avec moi lorsque j'arriverai à la fin de ma vie. Elle n'est rien pour moi. 

Peut-être que je vais mal pour écrire tout ça. J'ignore pourquoi et j'ignore sur quoi tout cela va déboucher. En tout cas, tout va mal. Cela je le sais.

J'espère pouvoir écrire encore certains textes. Désolé, pour ce texte. Il est parfaitement laid. Je ne l'aime pas. Mais c'est comme ça. A bientôt, j'espère.

 

 

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Commentaires
K
Zia,<br /> <br /> Merci pour le petit message sur ton blog. :)<br /> <br /> Oui, ça va. Repose-toi et j'espère que ça va bien se passer avec ton copain.<br /> <br /> Bises
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Z
un bisou en passant. très fatiguée. j'espère que toi ça va.<br /> <br /> bisou
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